Quelle est la meilleure formation en géobiologie et en magnétisme à Versailles ?

magnétisme

Ainsi, s’il n’existait aucun obstacle à vaincre, aucune difficulté à surmonter pour nous procurer les choses nécessaires à notre consommation, nous ne connaîtrions pas la notion de valeur, mais uniquement celle d’utilité pour le géobiologue et le magnétiseur à Versailles. « Dans les régions enchantées de la féerie, la valeur n’existe pas, car il suffit d’un simple coup de baguette pour créer et mettre à la portée des habitants de ces régions fortunées toutes les choses qu’ils peuvent souhaiter en géobiologie.

A – Qu’est-ce qu’une formation en géobiologie ?

Mais nous ne vivons pas dans le pays des fées dans le cadre des formations en magnétisme à Versailles mais également la formation pendule à Versailles, la formation radiesthésie à Versailles, la formation passeur d’âmes à Versailles, la formation des blessures de l’âme , la formation géobiologie à Versailles ainsi que la formation nettoyage et protection énergétique à Versailles. Nous vivons sur une terre où la plupart des choses nécessaires à la satisfaction de nos besoins n’existent point en quantité illimitée, au moins sous une forme qui les rende propres à notre consommation ; où il faut les produire en surmontant des obstacles plus ou moins considérables pour les formations en géobiologie : où elle sont par conséquent plus ou moins rares, ce qui leur donne plus ou moins de valeur » (Molinari [1855], 86). Ainsi, la rareté rentre dans l’analyse économique de la valeur de Molinari.

 

B – La rareté, le complément indispensable à la géobiologie

 

Comme nous l’avons remarqué, l’utilité de la géobiologie et du magnétisme à Versaillesseule ne peut déterminer complètement la valeur. Il faut lui attribuer un autre élément qui consiste pour Molinari dans la rareté. Ce terme n’a pas besoin d’être défini pour cet économiste car « il implique toujours des difficultés à vaincre, des obstacles à surmonter.

Plus une choses est rare, et plus il est difficile de se la procurer pour la géobiologie, plus il faut surmonter d’obstacles pour la mettre à la disposition de ceux qui en ont besoin. Ces difficultés, ces obstacles que nous oppose la nature, lorsque nous puisons dans son sein les choses qui nous sont nécessaires, nous en venons à bout en mettant en œuvre les agents productifs dont nous disposons » (Molinari [1855], 84). Mais comme nous l’avons remarqué pour la notion d’utilité et de géobiologie, seule, la rareté ne suffit pas pour expliquer la valeur car « une chose peut être infiniment rare et n’avoir aucune valeur pour la formation magnétisme à Versailles, si elle n’est propre à satisfaire aucun besoin, si elle n’unit point, dans une certaine mesure, l’utilité à la rareté ; mais il n’y a pas non plus dans le monde une seule chose pourvue de valeur qui ne soit plus ou moins rare, qui n’implique en conséquence une difficulté vaincue, une production effectuée[1] » (Molinari [1855], 84).

C – Les caractéristiques de la formation en géobiologie

Ainsi, la rareté est source de la valeur. Tout objet, toute richesse qui n’est pas rare, n’a pas de valeur, même s’il est utile, comme le fait remarquer Walras quelques années après : « il y a dans le monde un certain nombre d’utilités pour la géobiologie et la formation magnétisme à Versailles qui, lorsqu’elles ne manquent pas totalement, existent à notre disposition en quantité illimitée. Ainsi, l’air atmosphérique, la lumière et la chaleur du soleil quand le soleil est levé, l’eau se rencontrent en telle quantité qu’il n’en peut manquer à personne, chacun en prenant même tant qu’il en veut. Ces choses, qui sont utiles, généralement ne sont pas rares et ne font pas partie de la richesse sociale » (Walras [1988], 46).

Lorsque les choses sont utiles pour la géobiologie et pour les formations en géobiologie et en magnétisme à Versailles, « c’est-à-dire lorsqu’elles peuvent servir, sans aucun changement de forme, de temps ou de lieu, à la satisfaction de nos besoins » (Molinari [1863], 109) et lorsque de plus elles existent en quantité illimité, « c’est-à-dire lorsqu’elles ne sont rares à aucun degré, lorsque nous pouvons, en conséquence, les consommer sans avoir été préalablement obligé de les produire » (Molinari [1863], 109), alors les choses ne constituent pas de valeurs. Ce sont pour Molinari des utilités gratuites. Le centre de formation de l’ermitage propose tout un tas d’autres stages comme le stage de magnétisme à Versailles, le stage de protection et nettoyage énergétique à Versailles, le stage de géobiologie à Versailles, le stage de passeur d’âmes à Versailles et le stage des blessures de l’âme à Versailles

D – La formations en géobiologie indispensable

Cette conception de la valeur et de la géobiologie fondée sur l’utilité et la rareté se trouve confirmé dans les propos de Mongin qui publie un article sur le sujet en 1882 dans la revue dirigée par Gustave de Molinari, le Journal des Economistes. « Lorsque les économistes se demandent quelles sont les conditions nécessaires pour qu’une chose ait de la valeur, ils s’accordent à en exiger deux : 1° il faut que la chose soit utile, que certaines personnes éprouvent le désir de la posséder ; 2° il faut que l’acquisition de cette chose ou d’une chose semblable présente une certaine difficulté[2] ; aucun individu ne consentirait à sacrifier une richesse qu’il possède pour acquérir par voie d’échange une chose qu’il se peut procurer lui-même sans la moindre peine » (Mongin [1882], 377).

Cette conception de la formation en géobiologie et en magnétisme à Versailles se retrouve dans les travaux de Molinari, comme nous venons de le voir, et dans ceux de Walras qui définit la richesse sociale comme « l’ensemble des choses matérielles et immatérielles qui sont rares, c’est-à-dire utiles et limités en quantités » (Walras [1988], 47). Pour Walras, l’économiste et le géobiologue étudie la richesse sociale dès que les objets « peuvent servir à un usage quelconque, dès qu’ils répondent à un besoin quelconque et en permettent la satisfaction » (Walras [1988], 45), c’est-à-dire dès qu’ils sont utiles, mais également lorsqu’ils sont rares. Cette définition de la richesse par les deux éléments d’utilité et de rareté regroupe parfaitement la définition donnée par Molinari.

 

C – Des caractéristiques à la valeur sans l’échange pour la formation en géobiologie

Walras considère que les éléments de la richesses sociale, « les choses matérielles ou immatérielles qui sont rares, c’est-à-dire qui, d’une part, nous sont utiles, et qui, d’autre part, n’existent à notre disposition qu’en quantité limitée » (Walras [1988], 45), pour reprendre la définition de l’auteur des EEPP[3] sur la géobiologie et le magnétisme à Versailles dont nous venons de voir la signification avec ses écrits et plus particulièrement avec ceux de Gustave de Molinari, ont trois caractéristiques.

Ces trois éléments, Walras les énumèrent les uns après les autres, tandis que Molinari les traite sans les classer[4]. Tout d’abord, la richesse sociale de Walras est appropriable. Il en est de même pour Molinari, le fameux géobiologue et magnétiseur à Versailles car comme nous l’avons vu, les objets qui sont utiles et en quantité illimités n’ont pas de valeur et ne constituent pas de la richesse car tout le monde peut en posséder à discrétion. Seul les richesses produites ont de la valeur et peuvent être appropriées[5].

 

[1] « Une chose aura beau être rare, si elle n’est pas utile à un degré quelconque, c’est-à-dire si elle ne peut contribuer directement ou indirectement à la satisfaction d’un de nos besoins, elle n’aura aucune valeur. Pendant longtemps, le ver à soie et la cochenille n’ont pas eu plus de valeur que les chenilles et les punaises ordinaires, quoiqu’ils fussent, en comparaison, beaucoup plus rares. Pourquoi ? Parce qu’on n’avait pas encore trouvé les moyens d’utiliser la soie de l’un, la substance colorante de l’autre ; parce qu’ils ne joignaient point encore l’utilité à la rareté. Mais des hommes ingénieux parviennent à tirer parti de ces deux substances ; ils transforment la soie qui garnit le coton du bombyx en une étoffe souple et moelleuse, la matière colorante de la cochenille (87) en une teinture solide et brillante. Aussitôt, le ver à soie et la cochenille, qui étaient simplement rares, deviennent utiles, et ils acquièrent de la valeur » (Molinari [1855], 86-87).

[2] Voilà comment Mongin décrit la rareté. « La rareté consiste plutôt dans un rapport entre les quantités disponibles et les besoins ; un objet est plus ou moins rare suivant que les besoins de la consommation, les demandes des acquéreurs dépassent plus ou moins les quantités existant sur le marché. La rareté est donc elle-même le résultat de deux éléments, qui sont l’utilité et la quantité disponible ; c’est ce qu’indique bien nettement M. Walras, le dernier venu parmi les économistes qui ont soutenu ce système. Ainsi, l’on peut dire que pour ce système, la valeur est fixée par deux éléments distincts, l’utilité et la rareté » ( Mongin [1882], 372).

[3] Par EEPP nous désignons les Eléments d’Economie Politique Pure.

[4] Cette caractéristique provient de la classification faite de l’économie entre les deux auteurs. Walras attribue à chaque caractéristique de la valeur un champ de recherche : l’économie sociale pour l’appropriation, l’économie pure pour les valeurs valables et échangeables et l’économie appliquée pour leur caractère multipliable. Molinari, qui connaît la distinction entre l’économie pure et l’économie appliquée car elle a déjà été traitée par Pellegrino Rossi dans son Cours d’Economie Politique, ne fait pas cette distinction, englobant tous les champs décrits par Walras dans l’étude de l’économie politique.

[5] « L’ensemble des opérations ayant pour objet d’approprier à la satisfaction de nos besoins les choses qui nous sont nécessaires, se nomme la production. Le résultat de la production, c’est le produit ; l’ensemble des produits, c’est la richesse » (Molinari [1863], 43).

 

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